Théodore-Louis DEYROLLE (1848-1923). La fin de la journée des faneuses. Huile sur toile signée en bas à gauche (accidents et restaurations au cadre, frottements). Étiquette ancienne au revers. Haut. : 89 cm - Larg. : 127.5 cm En 1871, le peintre s'installe à Concarneau comme ostréiculteur. Désormais breton d'adoption il fait de sa nouvelle terre d'accueil le théâtre de son art et participe à la fondation de l'Ecole de Concarneau avec Alfred Guillou. Le folklore breton loin de l'agitation parisienne et de sa modernité est sublimé. Il y mêle réalisme et douceur de vivre. Elève de Cabanel et Bouguereau, Deyrolle commencera à exposer au Salon à partir de 1876. Il fut sociétaire des Artistes Français depuis 1884, et reçu des distinctions aux Salons de 1881, 1887 et 1889 et une médaille de bronze à l'Exposition Universelle de 1900. Deyrolle expose La fin de la journée des faneuses au Salon des Artistes Français de 1898, sous le n° 670 et réalise une planche gravée qui sera reproduite dans le catalogue illustré du Salon en page 111. Exposition : - Salon des Artistes Français de 1898, N° 670 (la fin de la journée des faneuses). - Catalogue illustré du Salon de 1898, gravure en page 111, (la fin de la journée des faneuses). Bibliographie : - « L'impressionnisme dans l'école de Pont-Aven" Charles-Guy Le Paul, La bibliothèque des Arts Lausanne-Paris, 1983, reproduit et décrit en page 13. (La fin de la journée ou fenaison près de Pont-Aven). - « Gauguin and the impressionists at Pont-Aven » Judy Le Paul, Abbeville Press Publishers, NY, 1987, reproduit et décrit en page 13 (Haymaking near Pont-Aven). Catalogue illustré du Salon de 1898, gravure en page 111. Expertise réalisée par Monsieur Irénée BRUN du cabinet PERAZZONE-BRUN.